Petit matin gris [luuba]

La petite demoiselle voletait dans la savanne. Elle avait horreur de se poser au sol, alors elle cherchait un arbre... La jolie rouge-gorge se posa tranquillement sur la branche d'un arbre complètement désèché. Le jour pointait son nez, et les doux rayons du soleil caressaient le soll poussièreux de cette région étrange. Friil était habituée au forêts et à leur dense végétation, et cet endroit la surprenait au plus haut point. Du sable, de la poussière, des cailloux qui se fendillent au soleil et juste de l'herbe jaune - ou bleue sous la lumière du petit matin - qui s'étendait à perte de vue...

Luuba scrutait le sol, les ailes largement étendue, comme un voilier. Il volait au-dessus d'un étrange étendue jaune et sèche. Les herbes dorées se couchaient sous une petite brise matinale et le disque flamboyant du soleil commençait à pointer pas dessur la ligne d'horizon. Le jeune nyctale perçut un bref mouvement, comme....un battement d'ailes? Un oiseau? Ici? Luuba pensait qu'il n'y aurait que des vautours, ces gros tas de plumes, brutes et sanguinaires qui mangeait des...des...caracsses en décompositon? Yerk! Quelle horreur! Jamais ça ne vaudrait une bonne souris bien juteuse.Mmmh.Délicieux ces petites bêtes! Une fameuse invention de dame nature.

L'oiseau de proie sortit de ses pensées et se souvint du mouvement qu'il avait entraperçut.Il vira sur l'aile droite,sans bruit,pour aller se percher sur un arbre désecher et rabougri.Il baissa la tête et regarda entre ses serres. Oh! Un membre de son espèce. Un "frère". Sauf que certain de ses "cousins" mangeait ces "frères" à plumes. Un peu comme les chouette plus grosse que lui.Heureusement qu'il n'en faisait pas partie.Chanceux le petit oiseau!

Toujours la tête à l'envers,il ouvrit le bec et parla:

-Bonjour,petit frère à plumes.

- CUI!

Quand les serres attraperent la petite bébète, elle commença à se débattre comme jamais. Non! Sa mêre était morte entre des sères, surtout pas! Complètement hystérique, elle donnait des coups de bec et de pattes dans les griffes qui l'enséraient, tant et si bien qu'elle sentit l'étreinte se désserer, et elle s'envolla dans un tourbillon de plumes... pour atterir assez durement au sol. Plusieurs de ses plummes s'étaient tordues, elle devait les arracher avant de pouvoir s'envoller. Pas le temps! La jeune rouge-gorge sautilla se mettre à l'abri entre deux racines de l'arbre, assez étroitement resserées, au prix d'une demi douzaine de plummes de plus.

-Au secours, je veut paaaaaaaaaaaas! Moman!

Luuba la regarda,les yaux grand ouverts,l'air ahuri.Maiiiiis...Elle est malade ou quoi? Il à un grain ce piaf? Le nyctale baissa la tête sur ses serres noires,pointues...Ah,oui.Effectivement.Pour un oiseau qui se fait bouffer par le chouettes de grande taille et les rapaces,ça ne devait pas être rogolo de savoir que l'on va mourir dans un seconde et demie,la tête arrachée...Brrr.La chouette descendit de sa branche et se posa sur le sol sec et craquelé. Il s'avança en sautillant vers les deux racines où s'était réfugié le petit volatile,au prix de nombreuses plumes. Il ne pourrait pas voler avant longtemps sans rémiges et sans rectrices. Pauvre frère.Il s'approcha,l'air compatisant, et dit d'ue voix douce comme celle d'un chouette.

-Je ne te veux pas de mal, je ne mange pas mes frères enfin! Je ne suis pas cannibales!

Le jeune nyctale tourna la tête de côté et ferma à demi les yeux. Il ouvrit le bec et un chuintement doux s'en échapa.

-Je m'appelle Luuba.Ne t'inquiète pas. Je ne te ferais rien du tout. Promis. Comment t'appelles-tu?

Puis il observa les plumes à terre et regarda son "cousin" ,d'un air compatisant.

-Moman...

La petite rouge-gorge ne s'aperçut pas tout de suite qu'on lui parlait, tremblant de toutes ses plummes au fond de son trou.

-Nan, tu es quoi?
Pas un faucon au moins?!?

Elle ne sortit pas de son trou, ses petits yeux noirs écarquillées fixant l'oiseau de proie avec peur. Cette dernière ne pouvait évidement pas comprendre...

-Je... je suis... Friil.

-Non,tout va bien,ne t'inquiète pas autant. Je ne suis pas un faucon,mais une chouette. Plus précisement un nyctale boréal, et je ne mange pas les oiseaux. Manger ses frères? Quelle idée.

Il baissa la tête vers le trou, il pouvait presque y passer mais il ne voulait paas brusquer la petite.Oui, d'après sa voix, indubitablement féminine, il était sûr que c'était une femelle. Jamais il ne la mangerait, il n'aimait que les rongeurs. Et encore, les pas trop gros. Les rats, c'était pas pour lui. Ils étaient presque aussi volumineux que la chouette, ça va pas la tête! Après tout, c'était lui le chasseur, pas le chassé! Luuba recula un peu pour laisser la place à la petit oiselle de sortir.Il lui parla à nouveau d'un voix douce et réconfortante.

-Friil...Tu es un rouge-gorge? Il y avait des membres de ton espèce, là où j'habitait, étant oisillon. De drôles de petits frères d'ailleurs, et qui chantent tellement bien!

-Ou-oui?

Un peu rassurée, la petite oiselle sortit de son trou. Elle n'avait pas d'autre solution de toute façon. Elle éffectua quelques pas titubants à l'exterieur, et commença à soigner ses ailes, arrachant de coups de bec les plumes cassées.

-Euh... excuse moi mon comportement...
Tu... me rappelais quelqu'un d'autre...

Ses ailes tremblaient un peu, et elle confla ses plumes pour trouver celles qui étaient hors fonction.

(Plus l'temps...j'répond tout à l'heure ou demain.)

(ok^^)

(J'arrive)

Luuba la regarda arracher les plumes de ses ailes,abimées. Quel gâchis! Tout oisillon rêvait de voler de ses propres ailes, et quelle tristesse de devoir enlever ce bien qu'était les plumes! Elle ne pourrait pas voler pendant un moment avec ça! Clouée au sol. Quel triste sort pour un oiseau. Rien de plus dangereux que de devoir rester sur le plancher des vaches pour un volatile si fragile. Vraiment...

-Tu n'as pas à t'excuser. Je ne sais pas qui je t'ai rappelé mais j'espère que je n'ai pas la même tête que lui parce qu'il à l'air vraiment horrible!

Sens de l'humour? Raté. Sur ce coup là il ne plaisantait qu'a moitié. Cette histoire n'avait pa l'air drôle du tout pour l'oiselle. Elle n'en avait pas que l'air d'ailleur. Pour lui avoir fait aussi peur que ça...Il devait y avoir une raison. Une sacré raison. Mince alors! Luuba, en un geste compatisant, ouvrit l'aile derrière la femelle rouge-gorge pour la protéger de la brise, devenue vent.

-Je n'ai pas vu son visage...

Friil termina d'enlever les plumes cassées, et ouvrit grand les ailes, pour constater l'étendue du désastre. La plupart n'étaient que des plumes de duvet, mais sa queue et ses ailes étaient tout de même un peu dépareillées. Mince. Elle poussa un soupir désolé, quand le vent se leva. La chouette mis ses ailes en bouclier.

- M-merci.

Elle se secoua un peu, puis s'assit au sol. Elle détestait ètre par terre, mais la, elle n'avait pas vraiment le choix...

Luuba la regarda. La compassion se lisait dans ses yeux argentés, éclatants, et si peu communs pour une chouette, quelque soit son espèce. Etre cloué au sol... Vraiment...Quel triste sort. Une idée germa dans son esprit. Mais bon. Vu la façon dont la femelle avait fippé des l'arrivée du nyctale...euh... Bon,qui ne tente rien n'as rien. C'est pas ce qu'on dit?

-Je vois que tu n'apprecie pas d'être à terre...

La chouette marqua une pause.Le soleil n'avait plus que sa partie inférieure masquée par la ligne de l'horizon.Dans quelque minutes la savane serait totaement éveillée. Les deux volatiles courraient un risque en restant au sol.Luuba reprit:

-Tu es plus petite que moi. Je pourrais essayer de te remonter sur l'arbre. De tout manière...C'est ça ou servir de petit déjeûner à des gros chats jaunes. C'est toi qui voit.

Ce n'était pas vraiment un choix car il n'y avait pas d'alternative. Ou l'oiselle acceptait,ou elle finissait sa vie ici.

L'oiselle eut un regard hésitant vers les serres de la chouette, mais de toute façon, elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Bien qu'elle ne fasse toujours pas confiance à qui que ce soit, elle asquiessa.

-Autant courrir le risque...

En quelques petits bonds hésitants, elle se rapprocha de l'oiseau de proie, fixant ses griffes. Elle ferma les yeux un instant, comme pour chasser un très mauvais souvenir, et replia ses ailes sur son corps, semblant abondonner une idée.

Luuba comprenait sa crainte, mais ils ne pouvaient pas rester là. Impossible! Il s'approcha doucement de la demoiselle rouge-gorge et ouvrit les ailes. Il les rabattit sur le sol avec force et s'éleva de quelques centimètres au-dessus du sol. Comme il ne pouvait tenir très longtemps en vol stationnaire il fit vite. Il ouvrit grand la patte, essayant de mettre ses serres le plus haut possible pour ne pas blaisser l'oiselle, et le referme sur le corp fragile du rouge-gorge. Sans serrer il s'éleva lentement et s'accrocha de tout la force de sa patte libre sur une brache solide, bien que sêche. Il se cramponna,sa patte occupée tendue en avant, et dessera sa prise en se contorsionant pour que son aile passe dessous. La petite femelle tomba au creux de cette dernière, sans se faire mal.

-Voilà.

La petite femelle tremblait de tout son corps. Elle avait résolument fermé les yeux pendant l'opération, mais des souvenirs l'assaillaient tout le temps.

M-Merci...

Elle rouvrit les ailes, observant les trous.

-Je suis tellement sotte, parfois...

La jeune rouge-gorge laissa échaper un soupir, elle ne pouvait s'empecher de repenser à ce moment affreux, elle ne voulait plus jamais vivre ça...

[N'ai pas pu m'empecher ^^:]

Petit matin gris [luuba] Mini_nyctaleboreal

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(^^)

Luuba eut un petit sourire. Eh ben, vraiemnt pas un bon souvenir! Il leva son aile et l'étendit à son côté pour que la femelle descende. Le soleil était parfaitement visible.

(je fini plus tard,je dois partir. Déso)

(ok, alors j'attend que t'ai finit pour rep ^^)

(^^)

Luuba eut un petit sourire. Eh ben, vraiement pas un bon souvenir! Il leva son aile et l'étendit à son côté pour que la femelle descende. Le soleil était parfaitement visible.
Au loin, un rugissement féroce se fit entendre. Lesseigneurs de la savane s'éveillaient.Ouf! Cet arbre était leur seule chance de salut et ils y étaient montés à temps.
Luuba attendit que la femelle rouge-gorge soit déscendue puis il replia son aile contre son corp. Le soleil dardait ses reyons dorées et brûlants sur la ssavne déjà plus que déssechée. Comment faisait les êtres vivants dans ce coin hostile pour survivre? Question sans réponses... Le nyctale iraient peut-être les observer, un jour. Mais pas sans avoir fait avant une bonne réserve d'eau. Il était à epine le matin que la chaleur commençait déjà à faire surface et à s'infiltrer partout. L'oiseau de proie se tourna vers la petite femelle.

-Excuse moi, mais je ne vois vraiement pas ce que tu as de sotte...

Il avait dit ça sans la regarder, observant l'horizon, droit devant lui, et d'un ton tellement désinvolte. Ses pensées se mélangeaient dans sa tête. Il n'allait pas rester ainsi éternellement, mais il ne pouvait pas partir en laissant la petite rouge-gorge derrière lui. Non. Il n'avait pas le droit et jamais il ne ferait une chose pareille.

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Friil ne réagit pas à la remarque de la chouette. Elle venait d'appercevoir le jour qui poitait son nez, teintant le ciel d'un rose délicat qui contrastait si fort avec l'endroit ou ils se trouvaient, lui rappelant soudainement qu'elle conversait avec un rapace nocturne. Tournant lentement la tête vers le grand (par rapport à elle) oiseau de proie, elle nota que ce dernier semblait penser à autre chose.

-Dis, c'est pas l'heure d'aller dormir pour toi?

Ses grand yeux noirs se posèrent sur Luuba, l'air intérogateur. Elle ne voullait surtout pas ètre la cause d'une journée noire (à l'opposée de la nuit blanche X) ) pour lui. Après tout ce qu'il avait déja fait!

Luuba la regarda, et tourna la tête de côté, signe qu'il était étonné. C'est vrai que la plupart de ses cousin étaient nocturnes. Il plissa les yeux, amusé, et eu un petit sourire. Elle s'inquiétait donc autant que ça pour lui? Mais elle n'avait pas à s'en faire. Vraiment pas... Ce n'était pas la peine.

-Oui, je comprend ce que tu veux dire, mais contrairement à beaucoup de mes "cousins", je ne suis que semi-nocturne. Je peux aussi bien vivre le jour comme la nuit.

Il se tortilla sur sa branche pour se mettre dans une position plus confortable, ouvrit de nouveau le bec et continua de parler.

-Je peux, par exemple, commencer ma journée dès les premières lueurs du jour, me percher dans un bon arbre au mileu de la journée, piquer un petit somme juqu'a la moitié de la nuit, puis me réveiller pour me mettre en chasse, ou me promener.

Il était content d'enseigner quelque bizarrerie de la nature. Il n'en connaissait pas énormément, mais en ce qui concernait son espèce, il était plutôt calé. En compagnie de ses parents il avait rencontré plusieur chouettes, certaine aussi différente qu'un aigle et qu'un canard, mais toutes avait un lien de parenté, et mieux encore, elles apartenaient toutes à la grande famille des oiseaux.

Friil ouvrit de grand yeux noirs tout étonnés. Elle se demanda un instant si la chouette ne lui raccontait pas des bobards pour la rassurer, mais chassa aussitôt cette idée de son esprit. C'était idiot voyons.

-Tu es sure que je ne te gène pas?

La petite rouge-gorge changea elle aussi sa position, sautillant sur l'arbre, se demandant en même temps si elle pourrait encore voller et, si oui, comment. Elle soupira, émettant un petit sifflement régulier, quand une idée germa dans un coin de son esprit de piaf. (depuis le temps que je veus la sortir celle la X) ) Avec un regard intérogateur, elle se tourna vers le nocturne qui avait été si gentil.

-J'ai… envie de chanter. Ça te dérange?

Luuba fut encore plus étonné. A tel point qu'il se demanda même si elle le faisait exprès. Mais il se rprit et secoua la tête, puis la tourna dans tous les sens pour suivre du regard la petite femelle. Il ouvrit le bec et dit dans un hululement doux, grave et profond.

-Biensur, j'adorerais entendre ta voix.

Il ouvrit les ailes pour aller se percher sur une branche en face de celle sur laquelle était perchée l'oiselle, et ouvrit grand ses oreilles de petit nyctale. Dna sa forêt natale, il n'y avait qu'une petit poplutaion de rouge-gorge. Il avait eu l'occasion d'entendre leur voix mais jamais bien longtemps, à cause de prédateurs trops nombreux pour de si petites bête.
Il s'instala confortablement, les paupières closes. Cela permettait de mieux apprecié la musique, disait-on. On allait tout de suite voir si c'était vrai.
Le soleil monatait de plus en plus haut dans le ciel. Ses rayons éclairait toute la prairie à présent. Un rugissement encore plus féroce, et plus puissant retentit, mais le volatile n'y prêta pas attention. Entièrement focalisé sur la chanteuse, il avait fait abstration du monde autour de lui.

Friil siffla, tout doucement, juste pour trouver sa voix. Elle avait beaucoups voyagé depuis la mort de sa mère, et partout ou elle allait, elle écoutait et enregidtrait les chansons des autres oiseau de toutes les espèces, pour les remélanger après dans son propre chant, une suite de notes douces et envoutantes. Elle avait hérité de la jolie voix de son père, bien qu'elle ne l'eut jamais connu.
Quand la petite oiselle eut choisit un ton, elle commença à chanter, vraiment, enchainant toutes les notes de la gamme les unes après le autres, lentement ou vite, saccadées ou douces. Quand elle chantait, ses sentiments ressortaient dans la mélodie, troublée, mélangée à l'atmosphère par les ondes du fond de sa gorge.
Elle aimait chanter, elle savait faire, elle aimerait toujours.
Et ça s'entendait.

Luuba se concentra, mais se rendit bien vite compte que c'était inutile. La musique l'envoûtait, et pénétrait en lui comme un flot d'eau cleir et limpide, tellement bienfaisant.
La mélodie fit crépiter son coeur et vibrer son âme. C'était... splendide. Tout simplement. Tellement qu'il n' y avait pas de mots. Ils n'étaient d'aucun secours.
Le nyctale ferma un peu plus fort les yeux se laissa bercer par la musique si douce... Jamais il ne pourrait chanter comme ça. Il avait certes une belle voix. Grave, profonde, ses hululements étaient doux et ses chuitements plutôt mélodieux, mais comparer à ça, ce n'était rien. Rien du tout.
Il se contenta d'écouter, silencieux. Sans bruit, sans remuer un seule plume. Pas une serre ne bougea. Rien, rein qui puisse troubler un si joli son.
Quand la mélodie s'arrêta, le nyctale ouvrit les yeux à regrets et regarda larouge-gorge avec admiration. Il souffla, sans voix, un simple murmure.

-C'était magnifique...

Le mot était faible, mais il n'en avait pas d'autres sou la main...ou plutôt, sous la pattes...ou même, sous l'aile. Aucun... Rien... de plus beau.

-Merci...

Friil soupira, un petit sifflement qui laissait échaper les dernières notes dans un désordre le plus total.

-Rien n'est de moi. J'ai pris toute les mélodies chez d'autres oiseaux que j'ai rencontrées pendant mes voyages...

Elle se peletona en petite boulle de plumes, c'était assez fatigant de chanter, et elle n'avait plus de souffle. Ce que la jeune rouge-gorge ne disait pas, c'est qu'elle avait fait un éffort suplémentaire pour la chouette qui avait été gentil avec elle...

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