Friil voletait au dessus des bois, à la recherche d'une branche confortable. Ses yeux parcouraient la forêt, cherchant entre les arbres le moindre signe de danger. On ne sait jamais...
Finalement, au bout d'une douzaine de minutes, quand elle eut exécuté toute les sortes de galipettes aériennes possibles et imaginables, elle se posa sur un branche haute, l'air éxternuée. C'est mal la connaitre! Il lui falut moins de dix secondes pour reprendre ses forces, et, d'humeur, elle se mit à chanter à tue tête, sa voix douce et mélodieuse traversant le silence entre les arbres.